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mercredi 11 mai 2011


Je vais vous parler dans mon site sur tout ce qui est en rapport avec l'eau;



Le sommaire:


Aller voir la définition de l'eau

Le cycle de l'eau

La dynamite du cycle de l'eau

Les réservoirs de l'eau

Quelle eau boire?

Quelle eau pour bébé?

Recommandations!

L'eau est important dans notre corps

La pollution de l'eau

La pollution de l'eau par des produits phytosanitaires

La pollution de l'eau par les déchets plastiques

Les sollutions

Economiser l'eau!







 L'eau:
Source de vie et objet de culte depuis les origines de l'homme, l'eau est à la fois un produit de l'économie et un élément majeur de l'environnement.
Près de 70% de la surface de la Terre est recouverte d’eau (97% d’eau salée et 3% d’eau douce dans différents réservoirs), essentiellement sous forme d’océans mais l’eau est aussiprésente sous forme gazeuse (vapeur d’eau), liquide et solide. Une étendue d’eau peut être un océan, une mer, un lac, un étang, un fleuve, une rivière, un ruisseau, un canal… La circulation de l’eau au sein des différents compartiments terrestres est décrite par le cycle de l'eau. En tant que composé essentiel à la vie, l’eau a une grande importance dans l’histoire de l’homme.

 Une eau est dite potable quand elle satisfait à un certain nombre de caractéristiques la rendant propre à la consommation humaine.

 Les standards de référence dans ce domaine diffèrent selon les époques et les pays (et selon l'autorité en charge de cette définition dans certains pays). Le concept de « potabilité » varie à travers le monde, fruit d'un contexte historique et culturel local. Il détermine la question de l'accès à l'eau, puisqu' une eau de bonne qualité est essentielle au développement économique et humain. D'ici moins de vingt ans près de 8 milliards d'êtres humains devront accéder à une eau de qualité.

Le cycle de l'eau:



 L'eau circule en permanence dans l'atmosphère sur la terre et sous la terre, entraînée dans un cycle sans fin. Sous l'effet de la chaleur du soleil, l'eau des mers, des fleuves et des lacs s'évapore et devient de la vapeur d'eau qui forme les nuages.
Les nuages sont poussés par le vent. Lorsqu'ils traversent des régions froides, la vapeur d'eau se condense. Elle retombe sur le sol, sous forme de pluie, de neige ou de grêle.

 L'eau ainsi retombée ruisselle sur le sol ou s'infiltre dans le sous-sol. Elle vient grossir les fleuves, qui eux-mêmes retournent à 1a mer et le cycle recommence. C'est le cycle de l'eau.



La dynamique du cycle de l’eau:



 En moyenne sur l’année et sur l’ensemble du globe terrestre, 65% des précipitations qui arrivent à terre s’évaporent, 24% ruissellent et 11% s’infiltrent.


 Des échanges d’eau se produisent également entre l’hydrosphère et le manteau terrestre. Par ailleurs, dans la haute atmosphère, des molécules d’eau sont constamment décomposées par les rayons ultraviolets solaires et l’hydrogène ainsi créé, trop léger pour être retenu par la gravité, s’échappe dans l’univers. Cependant, il semblerait que ces phénomènes restent suffisamment négligeables pour que globalement la quantité totale d’eau dans l’hydrosphère reste constante : l’analyse des sédiments marins a en particulier révélé que le volume des eaux océaniques avait très peu varié depuis un milliard d’années. On peut donc considérer que le cycle de l’eau est stationnaire c’est à dire que toute perte d’eau par l’une ou l’autre de ses parties, atmosphérique ou terrestre, est compensée par un gain d’eau par l’autre partie.





Les réservoirs de l'eau:



 Il est dificile de chiffrer le volume total des eaux terrestres.

 Les seules quantités d’eau qu’il est aujourd’hui possible d’estimer sont celles contenues dans les quatre grands réservoirs de l’hydrosphère, que sont les mers et océans, les eaux continentales (superficielles et souterraines), l’atmosphère et la biosphère. Les volumes les plus difficiles à évaluer sont ceux des eaux souterraines de la croûte terrestre, dont les estimations varient en fonction de l’épaisseur de croûte qu’ils considèrent.


 Aucune estimation fiable n’est en revanche disponible pour l’eau contenue dans le manteau terrestre.


 Les stocks sont les volumes d’eau présents à un instant donné dans un réservoir donné. Ils donnent en quelque sorte une image instantanée des volumes d’eau disponibles.

 Les stocks des différents réservoirs terrestres sont donnés dans le tableau ci-dessous (d’après L’eau, Ghislain de Marsily, Dominos Flammarion, 1995). Les volumes sont exprimés en kilomètres cubes. Un kilomètre cube est le volume d’un cube de 1 kilomètre de côté, c’est-à-dire qu’il équivaut à mille milliards de litres.



 Au final, la plus grande part de cette énorme quantité d’eau provient des océans qui constituent le réservoir le plus important de la planète mais dont les eaux sont salées.


 Les eaux douces de la planète, c’est à dire celles dont la salinité est inférieure à 3 grammes par litre, ne représentent que 3% en volume de toute l’eau de l’hydrosphère et encore toute cette eau n’est-elle pas disponible, la majeure partie étant gelée aux pôles. Le volume des eaux douces directement utilisables est finalement d’environ 9 millions de kilomètres cubes, dont la plus grande part consiste en eaux souterraines.


 En conséquence, malgré les impressionnantes quantités d’eau présentes sur notre planète, nous ne pouvons disposer de fait pour notre consommation que d’une part infime de toute cette eau. Mais il ne faut pas oublier que l’eau circule en permanence entre les différents réservoirs : ainsi, même si les stocks sont limités, certains sont en permanence renouvelés.


Source: CNRS



Quelle eau boire?



Les eaux destinées à la consommation humaine répondent à diverses appellations : eaux de table, eaux de source, eaux minérales et eaux purifées.
L'eau distribuée au robinet répond aux critères règlementaires stricts de l'eau potable.
Les eaux de table sont de même nature que l'eau du robinet, mais elles sont commercialisées en bouteilles. Elle ont éventuellement subi un traitement spécifique.
Une eau de source est une eau d'origine souterraine, ayant subi une protection contre la pollution, et n'ayant subi ni traitement chimique, ni adjonction. Elle doit donc être naturellement conforme. Elle doit satisfaire les critères de potabilité ( ce qui n'est pas forcément le cas d'une eau minérale naturelle).
Une eau minérale naturelle est une eau d'origine souterraine, protégée de toute pollution. Ses caractéristiques chimiques doivent être stables. Elle doit être de nature à apporter, dans certains cas, ses propriétés favorables à la santé. Elle n'est pas potables au sens règlementaire (on ne pourrait pas la distribuer au robinet). En effet, elle contient des substances minérales en quantités trop importantes pour pouvoir servir de boisson exclusive. Les eaux minérales font donc l'objet d'autorisations spécifiques, après analyse de leurs effets thérapeutiques.
Les eaux purifiées sont des eaux souterraines ou de surface traitées pour s’adapter à la consommation humaine. Seuls le format de distribution (bouteilles plutôt que par l’intermédiaire d’un réseau d’approvisionnement) et leur prix élevé les différencient de l’eau du robinet.
L'eau du robinet reste une eau de très grande qualité!


 La consommation d'eau en bouteille augmente en moyenne de 12% par an malgrès son prix excessivement élevés par rapport à celle de l’eau du robinet.


Quelle eau pour Bébé, Nourisson ?

Le nouveau-né doit consommer chaque jour une quantité de liquide égale à
0,12 litre/kg. Chez l’adulte, cette quantité passe à 0,05 litre/ kg.

 Boire de l’eau n’est pas l’unique moyen de s’hydrater. D’autres aliments solides nous apportent de l’eau mais pas en quantité suffisante.

 Il faut donc boire au moins 1,5 litres de liquide par jour en dehors des situations qui augmentent encore les pertes en eau (exercice physique, fièvre, chaleur en été …)

 L'eau du robinet, l'eau de puits qui répond aux normes sanitaires et l'eau embouteillée, sauf l'eau minérale ou les eaux gazeuses, conviennent généralement aux nourrissons.


Recommandations :

 Faire bouillir à gros bouillons pendant au moins deux minutes toute eau qui entre dans l'alimentation des nourrissons de moins de quatre mois afin d'en éliminer tout agent pathogène.


 L'eau qui sert à l'alimentation, aux préparations lactées et aux autres aliments, ou encore qui est servie à boire aux nourrissons, doit être sûre (c.-à-d., propre et exempte de contaminants microbiologiques et chimiques). L'eau du robinet, l'eau de puits qui satisfait aux normes sanitaires et l'eau embouteillée (sauf l'eau minérale et les eaux gazeuses) conviennent généralement. Toutes ces eaux, y compris l'eau embouteillée, ne sont pas stériles. Pour que l'eau des nourrissons de moins de quatre mois soit exempte de pathogènes, il est recommandé de la faire bouillir à gros bouillons au moins deux minutes. L'eau bouillie peut être conservée, dans un contenant stérile fermé hermétiquement, au réfrigérateur pendant deux ou trois jours ou pendant 24 heures à la température de la pièce.


> Eau du robinet:

Les systèmes municipaux d'eau potable font l'objet d'inspections et de surveillance systématiques pour vérifier si la qualité chimique et microbiologique de l'eau répond aux normes en vigueur. Il faut se servir seulement de l'eau froide du robinet pour les préparations lactées et les aliments pour nourrissons, ou pour leur donner à boire. L'eau chaude du robinet peut contenir plus de plomb et d'autres contaminants non biologiques, car elle les dissout ou les lessive plus facilement. Pour purger les conduites d'eau des contaminants tels le plomb et le cuivre qui s'accumulent pendant la nuit, laisser couler l'eau pendant deux minutes environ, tous les matins.


> Eau de puits:

Il faut être prudent lorsque l'on utilise l'eau de puits pour l'alimentation des nourrissons, car cette eau peut contenir de fortes concentrations de nitrates, de nitrites, d'arsenic, de fluorures et d'autres métaux lourds. S'il faut utiliser l'eau du puits, il est recommandé d'effectuer des contrôles de ces substances, de même que des bactéries coliformes, au moins deux fois par année. L'eau dont la concentration en nitrates excède le maximum acceptable (10 ppm) constitue un danger pour la santé des nourrissons, car elle peut provoquer une méthémoglobinémie, particulièrement chez les nourrissons âgés de trois à six mois. Les nitrates ne sont pas éliminés par l'ébullition de l'eau. L'eau qui contient plus de 1,5 parties par million (ppm) de fluorure peut causer la fluorose dentaire et ne devrait pas être utilisée. Vous pouvez obtenir des renseignements sur la qualité de l'eau et les laboratoires agréés auprès des services de santé locaux.


> Eaux embouteillées non gazéifiées:

Toutes les eaux vendues légalement satisfont aux normes précisées dans la Loi sur les aliments . Les seules eaux embouteillées non gazéifiées qui conviennent aux nourrissons sont les eaux de source naturelles souterraines et l'eau traitée à faible teneur en minéraux. Parmi les eaux commerciales qui ne conviennent pas, figurent les eaux minérales, l'eau traitée à haute teneur en minéraux et l'eau gazéifiée, dont le club soda. Il n'y a pas d'indication précise quant à l'utilisation de l'eau distillée. Il existe des eaux embouteillées destinées spécialement aux nourrissons, et elles sont étiquetées en conséquence.


> Appareils domestiques de traitement de l'eau:

L'utilisation de tels appareils n'est pas sans risque. Certains adoucisseurs d'eau en augmentent la teneur en sodium, et les filtres à charbon peuvent hausser la teneur en argent de l'eau ou la contaminer avec des bactéries.

 C’est bien connu, l’eau potable est une des richesses naturelles du Canada. Le pays détient une grande partie des ressources d’eau douce du monde entier. Mais il ne faut surtout pas la tenir pour acquis et croire que cette ressource est inépuisable. Presque toutes les sources d’eau sont susceptibles d’être contaminées à un degré plus ou moins élevé par des polluants naturels ou causés par l’homme. Certains polluants, comme le fer et le soufre, ne sont pas dangereux. Nous les classons plutôt dans la catégorie des irritants, car l’eau qui en présente une forte concentration devra être adoucie de façon à la rendre plus acceptable pour l’utilisation et la consommation humaines. D’autres agents de pollution, comme les métaux lourds, certains produits chimiques synthétiques ou des matières organiques, doivent être éliminés, car ils peuvent présenter des risques graves à court et à long terme pour la santé.


L’importance de l’eau dans le corps humain :




 Le corps d’un être humain adulte contient 60% d’eau, c’est-à-dire environ 42 litres d’eau pour une personne de 70 kg.


 La part de l’eau dans le corps diminue avec l’âge : 97% dans un fœtus, 75% chez le nourrisson, 60% chez l'adulte, 55% chez la personne âgée. C’est le cerveau qui contient le plus d’eau avec un taux de 80% ! Nos muscles en contiennent 75% et nos os 30%




Les pollutions de l'eau:



Les pollutions de l'eau peuvent se présenter sous différentes : chimique, mais aussi bactériologique, pollution thermique, et les eaux ou masses d'eau concernées peuvent être douces, saumâtres ou salées, souterraines ou superficielles. Il peut même s'agir de la pluie ou des rosées, de neige ou des glaces polaires.

 Elle peut aussi concerner des interfaces, dont les estuaires, les zones humides et en particulier leurs sédiments qui peuvent absorber puis relâcher certains polluants. Les sédiments peuvent être fortement pollués et conserver les traces de pollutions anciennes (on y trouve parfois aussi de nombreux plombs de chasse et de pêche là où ces activités sont pratiquées).

 La lutte contre cette pollution est d'autant plus difficile que ce qui est au fond de l'eau, ou dilué dans l'eau est souvent invisible, et que certains toxiques infiltrés dans le sol ne produisent souvent leur effet qu'après un long délai et que de nombreux polluants agissent en synergies complexes. Ainsi un déversement accidentel de 4 000 litres de tétrachlorométhane, survenu près d'Erstein en 1970 et passé presque inaperçu à l'époque, entraîna vingt ans plus tard une contamination de la nappe phréatique et d'un puits creusé sept kilomètres en aval. Les nitrates peuvent atteindre certaines nappes qu'après plusieurs décennies.

 En Europe, la directive 2000/60/CE du 23 octobre 2001 est le cadre pour le domaine de l’eau. Il rappelle et renforce les orientations communautaires relatives au bon état des écosystèmes aquatiques. Son article 16 vise à renforcer la protection de l'environnement aquatique par des mesures spécifiques conçues pour réduire progressivement les rejets, émissions et pertes de substances prioritaires, et l'arrêt ou la suppression progressive des rejets, émissions et pertes de substances dangereuses prioritaires dans l'eau Les états doivent décliner cette directive dans leur droit national.

 La France a publié une liste d'activités dangereuses et par secteurs d’activité industrielle des substances dangereuses potentiellement présentes dans les rejets aqueux des établissements exerçant cette activité industrielle, ainsi qu'une liste des installations classées concernées par des surveillances ciblées de substances pour quelques substances prioritaires.








Pollutions par les produits phytosanitaires:



Ces substances chimiques aujourd'hui prioritairement recherchées (on en dénombre aujourd’hui plus de 100 000 000 pollutions de bases, associées en de nombreuses préparations ou mélanges) destinées à protéger les végétaux contre les insectes, les champignons ou les « mauvaises herbes » peuvent pénétrer dans le sol et s'y accumuler pour atteindre les eaux souterraines. Dans l'environnement certains de ces pesticides se transforment en molécules de dégradation ou en métabolites qui sont nombreux et parfois très difficile à détecter.

 En France, pour remédier à la contamination préoccupante des eaux de surface ainsi que des eaux souterraines, le Gouvernement mène une politique globale d’intervention, comprenant, outre des aspects réglementaires et fiscaux, un programme national de réduction de ces pollutions lancé en concertation avec l’ensemble des partenaires, tant professionnels qu’associatifs. Le ministère chargé de l’écologie et du développement durable porte son effort sur une meilleure connaissance de l’impact des pesticides sur les milieux aquatiques ainsi que sur le développement des solutions préventives et curatives les plus adaptées.


Déchets plastiques:



Les déchets plastiques sont déversés en grande quantités dans les océans. l’IFREMER a évoqué des chiffres de plus de 50 millions de tonnes de déchets se trouvant entre 0 et 200m de profondeur dans le golfe de Gascogne, 15.000 tonnes de sacs plastiques y circulent entre deux eaux et 50.000 tonnes de ces mêmes sacs reposent au fond du golfe.

 Le stade ultime de la fragmentation de ces déchets consiste en ce que l'on appelle les larmes de sirène, granulés de plastiques omniprésents et indestructibles de dimension variant de quelques millmètts à 20 microns et moins.


Solutions:



Utilisez des produits sanitaires écologiques, il en existe une gamme aussi complète que dans les supermarchés classiques. Vous les trouverez dans tous les magasins bios. Il faut aussi diminuer la pollution de l'eau faite par les usines et éviter de rejeter les déchets ménagers dans l'eau. A ce propos les industriels de l'EXERA soucieux de ce problème ont fait réaliser une étude sur des détecteurs de film d'hydrocarbure à la surface de l'eau par l'IRA afin de connaître les moyens de détection et leur fiabilité.


Economiser l'eau:



Dix gestes quotidiens pour économiser l'eau:


1/ Privilégier la douche par rapport à la baignoire

 Prendre un bain est certes très agréable et reposant, mais il vaut mieux l'éviter. En effet, un bain nécessite en moyenne 150 à 200 litres d'eau alors qu'une douche n'en nécessite que 30 à 80 litres. C'est pourquoi, afin d'économiser l'eau, il est préférable de se limiter à un ou deux bains par mois au maximum. Enfin, sachez que seulement quelques litres d'eau suffisent pour se laver au lavabo avec un gant de toilette.


2/ Ne pas laisser couler le robinet inutilement

 Laisser couler le robinet lorsqu'on se brosse les dents ou qu'on se rase représente un gâchis important d'eau : un robinet ouvert pendant 3 minutes consomme environ 18 litres d'eau, soit 12 bouteilles de 1,5 litres ! C'est pourquoi il faut toujours penser à fermer le robinet lorsqu'il n'est pas utile. Il s'agit d'un geste simple qui peut permettre d'économiser plusieurs dizaines de litres d'eau par jour, alors pensez-y !


3/ Toujours vérifier que le robinet est bien refermé


Là encore, il s'agit d'un geste très simple : jeter un coup d'oeil aux robinets de la pièce lorsqu'on quitte la salle de bains ou la cuisine afin de vérifier qu'ils soient correctement refermés.

Cela peut permettre d'économiser plusieurs litres d'eau par jour.

De plus, cela permet de détecter plus rapidement les éventuelles fuites.





4/ Utiliser intelligemment sa chasse d'eau
 Une chasse d'eau consomme en moyenne 10 à 12 litres d'eau. Il faut donc éviter de l'actionner inutilement. De plus, il est préférable d'installer une chasse d'eau dotée de deux touches (5L et 10L par exemple) ou que l'on peut interrompre. Ainsi, il sera possible d'économiser plusieurs dizaines de litres d'eau par jour.


5/ Entretenir les canalisations pour éviter les fuites


La perte d'eau provoquée par une fissure ou un joint non étanche est estimée à environ 150 000 litres d'eau par an. Par conséquent, il est nécessaire de bien entretenir et de vérifier régulièrement les canalisations. De plus, pour détecter plus rapidement les fuites, il existe un test très simple qui consiste à relever l'index de votre compteur juste avant de vous coucher puis de le relever à nouveau le lendemain matin avant d'avoir fait couler l'eau : si le chiffre a changé, c'est qu'il y a une fuite dans votre installation.


6/ Installer des équipements économes


Lors de l'achat d'un lave-linge ou d'un lave-vaisselle, prenez en compte la consommation d'eau de l'appareil. Même s'ils sont un peu plus chers à l'achat, les appareils économes se révèlent être de bons investissements car ils réduisent votre facture d'eau (et d'électricité par la même occasion). Il existe d'autres équipements capables de réduire votre consommation d'eau. C'est le cas par exemple des 'mousseurs-aérateurs' qui réduisent le débit de votre robinet tout en donnant l'impression de l'augmenter.


7/ Bien utiliser le lave-linge et le lave-vaisselle

 Le lave-linge et le lave-vaisselle sont des appareils qui consomment beaucoup d'eau : un cycle de lave-linge nécessite en effet entre 70 et 130 litres d'eau et un cycle de lave-vaisselle consomme entre 25 à 40 litres d'eau. Il est donc primordial de ne les mettre en marche que lorsqu'ils sont pleins. D'autre part, il ne faut pas hésiter à utiliser les programmes économiques de ces appareils.


8/ Ne pas laver sa voiture dans les stations de lavage au jet


Le lavage au jet consomme entre 100 et 200 litres d'eau potable. En prenant quelques seaux d'eau et une éponge, vous en utiliserez 10 fois moins ! De plus, cela vous reviendra beaucoup moins cher. Par conséquent, hormis lorsque la voiture est très sale, il est préférable de la laver 'à la main' et non dans une station de lavage au jet.


9/ Arroser intelligemment son jardin


L'arrosage d'un jardin nécessite beaucoup d'eau : il faut donc arroser intelligemment afin de ne pas en gaspiller. Tout d'abord, il est préférable de ne pas arroser le matin ou en début d'après-midi car dans ce cas une grande quantité de l'eau versée s'évapore avant d'être absorbée par le sol : il est donc conseillé d'arroser le soir. D'autre part, n'hésitez pas à récupérer l'eau de pluie pour arroser votre jardin sans alourdir votre facture d'eau.


10/ Limiter le remplissage de la piscine


La consommation d'eau pour le remplissage d'une piscine privée est de l'ordre de plusieurs dizaines de milliers de litres : il faut donc remplir la piscine uniquement lorsqu'elle est utilisée. De plus, pour éviter de devoir rajouter de l'eau trop souvent, il est indispensable de disposer une toile au-dessus de la piscine afin d'éviter les pertes par évaporation lorsqu'elle n'est pas utilisée. Enfin, il ne faut pas remplir la piscine à ras bord : il vaut mieux laisser 15 à 20 cm afin d'éviter les pertes par éclaboussures.